Текст песни
celle qui paie toujours vos crimes vos erreurs
celle qui paie toujours vos crimes vos erreurs
Au grand soleil d t qui courbe la provence, que je chante jamais celle des travailleurs Jean, celle qui ne poss de en or que ses nuits blanches
De plaines en for ts de vallons en collines, celle dont monsieur thiers a dit qu on la fusille
elle r pond toujours du nom de robespierre
ils n en finissent pas tes artistes proph tes
Quelque chose dans l air a cette transparence, des gen ts de bretagne aux bruy res d ard che
Celle du vieil hugo tonnant de son exil, et ce go t du bonheur qui rend ma l vre s che
Elle r pond toujours du nom de robespierre, elle r pond toujours du nom de robespierre
En remplissant l histoire et ses fosses communes, aux peuples trangers qui donnaient le vertige
qu elle monte des mines descende des collines
Picasso tient le monde au bout de sa palette, celle qui chante en moi la belle la rebelle
Elle r pond toujours du nom de robespierre, je n en finirai pas d crire ta chanson
Celle de trente-six soixante-huit chandelles, celle qui paie toujours vos crimes vos erreurs, celle qui ne poss de en or que ses nuits blanches
Celle qui paie toujours vos crimes vos erreurs, des l vres d luard s envolent des colombes, des l vres d luard s envolent des colombes
Aux peuples trangers qui donnaient le vertige, serr dans ses mains fines, et ce go t du bonheur qui rend ma l vre s che
Des gen ts de bretagne aux bruy res d ard che, en remplissant l histoire et ses fosses communes, picasso tient le monde au bout de sa palette
En remplissant l histoire et ses fosses communes, de plaines en for ts de vallons en collines, en remplissant l histoire et ses fosses communes
serr dans ses mains fines
Leurs voix se multiplient n en plus faire qu une, et ce go t du bonheur qui rend ma l vre s che, du journal que l on vend le matin d un dimanche
Des gen ts de bretagne aux bruy res d ard che, picasso tient le monde au bout de sa palette
serr dans ses mains fines
Celle qui ne poss de en or que ses nuits blanches, des enfants de cinq ans travaillant dans les mines
Je n en finirai pas d crire ta chanson, des l vres d luard s envolent des colombes, picasso tient le monde au bout de sa palette
Au grand soleil d t qui courbe la provence, qu elle monte des mines descende des collines, celle qui chante en moi la belle la rebelle
Et ce go t du bonheur qui rend ma l vre s che, en remplissant l histoire et ses fosses communes
Ils n en finissent pas tes artistes proph tes, ils n en finissent pas tes artistes proph tes
cet air de libert au-del des fronti res
celle qui chante en moi la belle la rebelle
Au grand soleil d t qui courbe la provence, de dire qu il est temps que le malheur succombe, celle qui construisit de ses mains vos usines
leurs voix se multiplient n en plus faire qu une
quelque chose dans l air a cette transparence
celle de trente-six soixante-huit chandelles
Celle de trente-six soixante-huit chandelles, de dire qu il est temps que le malheur succombe, de ce que j ai v cu ce que j imagine
pour la lutte obstin de ce temps quotidien
Aux peuples trangers qui donnaient le vertige, et ce go t du bonheur qui rend ma l vre s che
elle tient l avenir
des l vres d luard s envolent des colombes
Celle qui chante en moi la belle la rebelle, picasso tient le monde au bout de sa palette