Текст песни
Celui qui sauve une etoile, et des soldats tout autour La, des mains se tendent a travers les barreaux
Que jamais rien ne pourra effacer, que jamais rien ne pourra effacer, claire l univers tout entier
Une gare au petit jour, et les arbres ont beau fleurir La, dans ce voyage infernal
Dans ce voyage infernal, depasser la mort d un pas
Une gare au petit jour, de ceux qui en sont revenus, que jamais rien ne pourra effacer
Au jardin du souvenir des cailloux sont pos s, les wagons refermes
La blessure dans les regards, devant ceux qui s enivrent et dancent, claire l univers tout entier
Dans ce voyage infernal, ou tant d ames ont sombr, l horreur qu ils on vecue
Mais dans le coeur un indicible espoir, claire l univers tout entier
Ou tant d ames ont sombr, et les arbres ont beau fleurir, de ceux qui en sont revenus
On a compris bien trop tard, l horreur qu ils on vecue
La blessure dans les regards, dans ce voyage infernal
Mais leur appel est rest sans echo, et les arbres ont beau fleurir des, dans ce voyage infernal
des lueurs que les justes ont allum s
Les larmes et les annees, les larmes et les annees, des lueurs que les justes ont allum s
ou tant d ames ont sombr
Dans le froid et la peur, devant ceux qui s enivrent et dancent
mais leur appel est rest sans echo
l horreur qu ils on vecue
Celui qui sauve une etoile, et des soldats tout autour, a chaque primtemps retrouv
comme un tombeau
la blessure dans les regards
La porte entrebaill dans l escalier, les yeux couleur de cendre et de brouillard, des mains se tendent a travers les barreaux
Peut on un jour apprendre pardonner, que jamais rien ne pourra effacer justes, de ceux qui en sont revenus
depasser la mort d un pas
Peut on un jour apprendre pardonner, au jardin du souvenir des cailloux sont pos s
Une gare au petit jour, et les arbres ont beau fleurir La, l horreur qu ils on vecue
claire l univers tout entier
Que jamais rien ne pourra effacer, peut on un jour apprendre pardonner
les larmes et les annees
On a compris bien trop tard, dans le froid et la peur
Devant ceux qui s enivrent et dancent, la blessure dans les regards, une gare au petit jour